Lancement du recueil « Qu’une partie de nous s’évanouisse », de Jessica Dufour

Ce 1er avril, on vous attend en grand nombre au lancement du premier recueil poétique de Jessica Dufour, « Qu’une partie de nous s’évanouisse ».

Rendez-vous dès 15 h à la salle Mary Woods du YWCA, situé sur l’avenue Holland, à Québec.

Déroulement du lancement:

15 h 00 : accueil, service de thé, jasette et dédicaces
15 h 45 : présentations et lecture d’extraits du recueil par l’autrice
16 h 00 : début de la séance d’écriture collective avec partage et échanges [GRATUIT ! Ouvert à toutes et à tous !]

Pour plus de confort, nous vous invitons à apporter un coussin, un oreiller ou une couverte 🙂

À propos du recueil :

Qu’une partie de nous s’évanouisse explore la relation mère-fille, ses impossibilités et la violence banale qui s’y glisse au quotidien. En émerge une réflexion sur la construction de l’identité féminine, en opposition ou en continuité avec la génération précédente. Comment briser le cycle ? Que reste-t-il en nous de ces femmes qui nous précèdent ? Par l’écriture, l’autrice révèle les non-dits qui étouffent, évoque des souvenirs dans lesquels « la maison est un foyer ardent/où s’accumulent les cendres ».

Extrait :

« à l’ouverture de tes bras
je bifurque
espère courir assez vite
qu’on ne me trouve pas
sur les lieux du crime »

À propos de Jessica Dufour :

Diplômée en création littéraire, communication et linguistique, Jessica Dufour poursuit à la maîtrise en traduction. Elle aime aussi apprendre de manière autodidacte ou sur le tas. Sa poésie ne prend pas racine. Elle naît au gré d’une joyeuse errance d’est en ouest du Canada, de la forêt à la ville. On peut la croiser aux micros ouverts, dans plusieurs revues, web et papier, ainsi que sur Instagram (@jessdesica).

À propos des éditions de l’Écume :

L’écume, c’est cette matière explosive, honnête et vivante, naturellement imprévisible, perpétuellement en construction
qui danse au-dessus des fonds changeants.

Photographies de micro-univers, objets uniques à la facture soignée, nos œuvres laissent place aux espaces et aux temps déconstruits, à ces paysages qui nous habitent et deviennent territoires de beauté imparfaite.

Nous publions des œuvres d’aujourd’hui, dans une langue commune ou précieuse, avec dans le cœur l’idée du partage, la remontée volontaire à l’origine de nos soifs.

En tout temps, nous acceptons par la poste, par bouteille à la mer ou envoi numérique les projets paginés de plus de 32 pages où nous retrouvons la parole libre.